SAMEDI 22 Fevrier 15h, en ligne
Bernard Rouch
Bernard Rouch a été au contact dès l’enfance avec de nombreux enseignements spirituels à travers l’Inde (6 ans) et le Mexique (7 ans). Sa mère devenue none bouddhiste, il a passé une partie de son enfance au sein de temples bouddhistes. A l’adolescence, il a développé une grande sensibilité dans l’approche des corps subtils et du monde de l’énergie au travers de sa participation au groupe d’origine qui a redécouvert les thérapies égypto- esséniennes avec Anne Givaudan et Daniel Meurois. Il a terminé ses études et obtenu un diplôme d’ingénieur en physique à l’Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse, un Diplôme d’Études approfondies en micro-électronique et un Master de l’Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications de Paris. Après quelques années dans les métiers de l’ingénierie il est revenu à ses premiers amours. Il les enseigne en Italie, en France, en Espagne et au Québec, avec ses 30 années d’expérience.
Lorsque le thérapeute égyptien recevait son patient, la première question qu’il posait était : « Avec qui ou avec quoi es-tu en guerre ? » À l’époque du pharaon Akhenaton, il était évident que la maladie cachait un conflit intérieur et que toute guerre cachait une division en nous-mêmes qui finissait par se matérialiser.
Cela était vrai il y a 3 500 ans et c’est encore plus vrai aujourd’hui, où nous vivons une vie qui ne nous épargne ni tensions ni stress. Nous nous sentons facilement coupables, parce que nous aurions dû… parce qu’il fallait… Nous finissons même par avoir peur de nos réactions, de nos comportements et, au bout du compte, de nous-mêmes. Insidieusement, nous dirigeons ces conflits extérieurs vers nous-mêmes aux dépens de notre santé.
Nous avons souvent une exigence excessive envers nous-mêmes qui nous fait parfois perdre la joie de vivre qui est pourtant le moteur de notre santé. Ce comportement est-il le reflet d’un amour pour ne savons plus nous donner à nous-mêmes ?
Les pratiques de soins anciennes prônaient l’équilibre intérieur. Elles cherchaient à pacifier la relation avec nous-mêmes et avec les autres. À l’époque, l’influence des pensées sur nos cellules était évidente. Le corps était le miroir du monde de notre esprit.
Dans cette conférence, nous évoquerons les grands équilibres de vie enseignés dans tant de cultures anciennes et que nous avons graduellement perdues. De plus, nous partagerons les clés de la santé globale tels qu’ils sont décrits par les anciens textes sacrés, tant occidentaux qu’orientaux.